Améliorer sa capacité de savoir-faire est bénéfique tant pour l’employé que pour l’entreprise en question. Puisque le travail au sein d’une entreprise évolue, le salarié approuve aussi le besoin de faire développer ses compétences tout au long de sa carrière. À qui s’adresse donc le plan de développement des connaissances ? C’est ce dont nous allons vous parler à travers cet article.
C’est quoi un plan de développement des compétences ?
Un plan de développement de connaissance est une démarche menée par les entreprises afin d’améliorer les compétences de ces salariés en guise de promouvoir en mieux leurs performances dans le cadre du métier qu’ils exercent. Le plan de développement des compétences est décidé par l’employeur parmi le nombreux choix de formation adapté au poste du travail du salarié afin de maintenir son emploi et de faire développer ces compétences. Trois catégories de formations existent : les formations d’adaptation au métier, les formations à évolution avec maintien de l’emploi et les formations au développement des compétences.
Qui peut être concerné par ledit plan ?
Le plan de développement des compétences et les actions qui vont avec sont réservés pour tout salarié d’une entreprise. Et toutes les entreprises selon son activité et sa taille sont aussi touchées par ce plan. Le suivi de la formation peut s’effectuer par une formation en ligne, ce dernier permet à l’employé d’occuper et de maintenir son poste. En général, le salarié dispose de 80 heures par an pour son départ en formation si une absence est nécessaire. Pourtant, si la formation s’effectue en dehors du temps du travail, ce dernier indemnise d’une allocation de 50 pourcent nette en dehors de sa rémunération mensuelle.
Quel financement pour un plan de développement des compétences ?
Les évolutions stratégiques en économies, en technologies et aussi en juridiction obligent chaque entreprise à anticiper une formation de ces salariés. Le financement de ces actions est de ce fait à la charge de l’entreprise si le choix de formation correspond aux besoins de l’entreprise. L’entreprise finance en entier les frais annexes liés à l’action de la formation. Les entreprises employant un nombre d’employés inférieur à 50 sont prises en charge par une organisation légale dont le fond mutualisé est acquis à l’aide de la contribution légale à la formation faite par l’entreprise. Or, si les nombres de salariés sont supérieurs à 50, le financement s’effectue dans le cadre d’un versement volontaire. Une demande de formation à un plan de développement de compétence n’est autorisée et financée par une entreprise que si la demande faite ne répond pas aux besoins de ce dernier.